L’ARQUE

Nous sommes maintenant et quelques jours plus tard. Nous avons réussi à comprendre ce qui se passe. Le navire est recouvert d’une épaisse couche de cendres. Cendre volcanique. Si cette couche devient trop épaisse, le centre de gravité du navire sera perturbé, ce qui le fera osciller. Ces derniers jours, il fait parfois nuit dehors. Puis vint la cendre. Toutes les écoutilles du navire ne s’ouvrent toujours pas à cause du poids et parfois je n’ai plus la notion du temps. Marie se couche toujours à l’heure. Parfois, je reste assis derrière le PC pendant des heures, mais très souvent, je ne m’en souviens pas. Parfois, je ne prends même plus la peine de mettre quelque chose. Parfois, je passe des heures à regarder nue et à examiner quelque chose pour la millième fois. J’ai aussi découvert d’où vient cette dépendance excitante. Notre corps a bien dormi, mais les nécessiteux ont continué à grandir. C’est ainsi que Marie et moi nous sommes parfois mis au défi. Parfois, elle laissait un aperçu de son corps faire vivre mes yeux.

Je me suis assis derrière mon PC et j’ai laissé mes pensées telles quelles. Soudain, j’ai vu Marie entrer dans le salon. Elle était seule et portait un pantalon et une chemise. Elle s’est tenue près de la cheminée et a enlevé ses vêtements. Elle s’est assise nue sur la chaise. Elle m’avait clairement vu, alors j’ai vu cela comme une invitation. Marie a dû faire un long chemin. J’ai aussi enlevé mes vêtements dans les coulisses. Ma putain de canne était déjà devenue raide. Je voyais bien son corps dans l’orange du feu. Elle se doigtait.

J’ai marché vers elle et me suis assis entre ses jambes. J’étais en mesure d’aller à l’intérieur avec elle. Mais je pouvais voir dans ses yeux qu’elle ne voulait pas cela. Je me suis donc retenu et je me suis ressaisi. Nous nous sommes regardés profondément dans les yeux pendant des minutes. Jusqu’à ce qu’elle me remplace et que je commence à la satisfaire. J’ai beaucoup aimé ça. Une main étrange sur ma bite, près d’une chatte mouillée. Elle a tiré mon prépuce vers l’arrière et en le tirant, elle a poussé mon gland en elle. “Seulement ton crétin”, a-t-elle dit. J’ai respecté cela et je n’ai pas exercé de pression supplémentaire. J’ai commencé à travailler sur ses seins alors que j’étais bien tiré.

Soudain, elle s’est levée. Elle a pris la chaise et l’a placée devant la cheminée. On m’a permis de m’asseoir avec mon macchabée. Elle s’est assise entre mes jambes et a commencé à me sucer la bite avec passion. Je me suis tellement amusé que j’ai failli revenir. Juste à temps, elle s’est arrêtée et s’est assise sur moi. Mon pénis est resté tendu contre son vagin. J’avais maintenant ses fesses pour moi et je les pétrissais bien. Elle a élargi ses jambes et les a mises derrière les miennes. Maintenant, elle s’est assise avec les jambes écartées et ma bite contre son vagin, tandis que ses seins, son ventre et l’intérieur de ses jambes étaient chauffés par le chauffage. Je l’ai attrapée par les seins et je l’ai tirée vers moi. Elle a commencé à jouer avec mes boules pendant que je pétrissais son sein gauche d’une main et que je la doigtais légèrement de l’autre.